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<div class="et_pb_post_title et_pb_post_title_0 et_pb_bg_layout_light"><h1 class="entry-title">Cinéclub : Il était une fois dans l’Ouest</h1></div> <div class="et_pb_text et_pb_bg_layout_light et_pb_text_align_left et_pb_text_0"> <p> , - 06.01.2019 </p> </div>

C’era una volta il West
Un film de Sergio Leone
Italie, Etats-Unis

https://www.imdb.com/title/tt0064116/

Cycle « Bonne année 1969! »

Sorti en salles en août 1969, ce film est le plus grand succès cinématographique de l’année (Box Office France : 14 875 030 entrées).

Dans le Grand Ouest, nul part, un homme appelé Harmonica (Charles Bronson) part à la recherche d’un tueur à gages : Frank (Henri Fonda). Ce dernier travaille pour Morton, directeur d’une compagnie de chemin de fer qui cherche à s’étendre jusqu’au pacifique. Alors qu’une fête de famille se prépare, Bet McBain est tué avec ses enfants. La veuve, Jill (Claudia Cardinale), doit maintenant gérer la ferme familiale seule, tandis que la voie ferrée doit passer sur sa propriété. Les soupçons concernant la tuerie se portent sur un mystérieux aventurier : Cheyenne (Jason Robards).

L’Ouest américain de Sergio Leone, italien, est peuplé de sadiques et de vengeurs. Hommage et subversion du western américain, le western spaghetti offre une parabole parallèle sur ce que sont les Etats-Unis, autant en 1969, année de sortie du film en France lors de la guerre de Viêt Nam, que sur la fondation mythique de la nation américaine. La conquête de l’ouest, symbole de l’industrialisation, mais aussi, du capitalisme américain, plonge ses racines jusque dans le sang des innocents.

Sergio Leone évoque sa conception des Etats-Unis à plusieurs reprises dans sa mise en scène. Lorsqu’un fondu transforme une locomotive et sa fumée en canon de revolver, le réalisateur rend compte aisément à l’image de l’histoire américaine. La mise en scène, essentiellement constituée de zooms macros sur des visages, et de travellings infinis, comme sur les rails d’une voie ferrée, est renforcée par une bande originale signée Ennio Morricone, dont les thèmes sont désormais réutilisés à foison dans la culture de masse audiovisuelle de l’Occident.

Infos pratiques :

Ouverture des portes du DOC et du bar à 17h45
Lancement du/des courts métrages à 18h
Lancement du long métrage entre 18h15 et 18h30.
Fermeture des portes à 23h

75 places dans la salle – Pas de réservations
Boissons sur place – Pas de CB

Entrée au niveau du 26bis